Seth J. Shriver, l'imbécile heureux de service~

La première fois que vous le verrai, peu importe ce vous remarquerai en premier, cela est sure que votre attention sera capter par lui. Que ce soit grâce à ses courts cheveux gris comme le fer, son mètre quatre-vingt-dix-sept ou encore son regard d’un bleu azur clair, il est évident que vous ne pourrai que le remarquer. Ses yeux, en particulier, qui même si il ne s’en rend pas compte, dévoilent aisément les sentiments qu’il éprouve, devenant étincelants lorsqu’il est content, ou fades lorsqu’il est en colère. Il est difficile aussi de ne pas constater son sourire. Son grand sourire, qu’il ne montre que rarement, mais qui parait si réconfortant et rassurant. Ses traits son fins, mais pas au point de ressembler à une fille, loin de là. Il serait presque impossible de le confondre pour une femme en fait. Principalement à cause de son corps athlétique et robuste, qui laisse paraitre ses muscles merveilleusement découpés. Son rire est enjoué, presque moqueur, et il a une posture droite et posée, probablement à cause de sa trop grande estime de lui.

Côté vestimentaire, il ne porte pas d’habit bien extravagant. Son habillement consiste essentiellement à un chandail rouge, sous un manteau noir, et des pantalons kaki. Il porte aussi un collier en argent au cou, avec son nom gravé sur un des côtés. Par contre, même si la médaille indique ‘’Seth J. Shriver’’, il n’a aucune idée de ce que le ‘’J.’’ dans son nom signifie.

Dans son manteau se trouve trois choses essentielles à sa survie. Premièrement, deux armes, dont il se sert pour se défendre et qu’il possède depuis son passage dans la mafia. Il tient à ses armes autant qu’à la prunelle de ses yeux, puisqu’elles sont les seules choses l’ayant protégée toute sa vie. Deuxièmement, des munitions, car à quoi bon avoir des armes si notre utilisation est de courte durée. Et troisièmement, de la dynamite. Pourquoi? Tout simplement dans l’éventualité où il serait à court de munition, évidement~!


La chose la plus importante à dire en commençant est cela : Il a une estime de lui qui est infiniment grande. C’est presque si il se prenait pour Dieu! Cette facette de lui à donc beaucoup d’influence sur le reste de son caractère. Il ne se laissera jamais insulté sans répliquer, ou encore il n’abandonnera pas un combat avant d’être dans le coma. Par contre, même si il a tendance à se jeter des fleurs, il est d’un caractère très sympathique, et n’hésitera pas à socialiser avec vous, si vous lui paraissez digne de confiance. Il ne demandera cependant jamais d’aide des autres, étant lui-même ‘’beaucoup trop charmant’’ pour avoir à faire cela. On pourrait très simplement dire qu’il est un imbécile heureux. Il déteste qu’on sache ce qu’il ressent, donc il n’en parle pas, mais ses émotions sont habituellement clairement visibles.

Aussi, il est d’un naturel moqueur. Il a la manie de passer des répliques soit complètement idiotes et inutiles, soit perverses et… tout aussi inutiles. Il n’est pas la personne la plus instruite, ni la plus éduquer. Par là, je veux dire qu’il ne sait ni lire, ni écrire, et qu’il a même de la difficulté à comprendre certain mots. Mais têtu comme il est, il n’hésitera pas à vous en demander sa définition. Pour le reste, il n’y a rien de bien compliquer, trois mots : manger, dormir, sexe. Bon, évidement, pour le 3ième, ce n’est pas comme si ça arrivait souvent, mais tout de même, on ne peut pas ignorer le fait qu’il soit un pervers. Pour les deux autres, ce sont les choses qu’il a bien du faire le plus souvent dans toute sa vie. À cause de la longue période de temps où il a vécu seul, il a prit l’habitude de faire ce qu’il voulait, quand il voulait. En d’autre mot, s’il a faim, il mange, et s’il est fatigué, il dort. L’inconvénient là-dedans est que s’il est en train de marcher, et qu’il est fatigué… il tombe comme une buche sur le sol et s’endort sur le champ. Pas très pratique, surtout lorsqu’il est en plein combat.

Par contre, tout aussi sympathique qu’il puisse l’être, il a un énorme défaut qui le suis depuis sa jeunesse. Mais, avec l’enfance qu’il a eue, il n’y a rien de bien étonnant à cela. Ce défaut, tout aussi banal et anodin qu’il puisse l’être chez certaine personnes, chez lui, est devenu une véritable obsession. Ce défaut, c’est le doute. Le doute. De tout. De rien. Des gens. Des paroles. Des gestes. Tout ce qui ce passe autour de lui, il se sent obliger de l’analyser, cherchant pourquoi et avec qu’elles intensions cela à été fait, et bien sur, de qu’elle façon cela peu avoir un impact néfaste sur lui. En d’autre mot, il cherche comment ce que vous faites peu lui faire du mal. Peu importe ce que vous direz pour tenter de le convaincre de votre bonne foie, peu importe le nombre de fois où vous l’aiderez, le sauverez, lui offrirez tout ce que vous possédez… il doutera. Encore et toujours. De vous. De tout. De lui, même. À force de douter, il en vient parfois à se demander s’il ne serait pas lui-même en train de se blesser, involontairement. Ce sentiment… ce défaut… ce malheur, qui le suis depuis si longtemps, le ronge de l’intérieur, si bien que son cœur doute même du fait que le bien soit bien et que le mal soit mal. Si bien qu’il ne sait plus différencier la lumière des ténèbres… Si bien qu’il va surement finir, un jour ou l’autre, par en perdre la raison…


Son histoire n’est pas des plus heureuses, croyez-moi, elle devrait plutôt être oubliée, et non raconter. Mais, il faut la connaitre, pour comprendre cet être si simple, et si complexe à la fois, qu’est Seth.

Tout d’abord, comme tout autre enfant, Seth à vécu avec ses parents… en fait, non, avec son père. Père qui d’ailleurs n’était jamais là. L’époque et l’endroit d’où il venait n’était pas du tout moderne. Les gens vivaient de l’agriculture, et il y avait même des pirates, qui contrôlaient les mers. Son père faisait parti de la classe des agriculteurs. Il travaillait, jour et nuit, sans relâche, et tout cela pour pouvoir s’offrir plus de biens. Il en voulait toujours plus. Des choses inutiles, sans signification, et autre utilité que trainer dans la maison. Le jeune Shriver passait donc le plus clair de son temps seul, dans une maison vide, et ne voyait son père que lorsqu’il passait porter de la nourriture. Enfant, cela le dérangea évidement, mais il n’avait pas d’autres amis du village où il venait. À cause de ses cheveux gris, et surement aussi parce qu’il était le seul ayant des cheveux de cette couleur d’où il venait, les gens l’évitaient, il avait même été banni des écoles. Mais bon, tout cela lui importait peu.

Un beau jour, son père passa chez lui, tout sourire, et lui annonça qu’ils iraient faire une sortie père et fils, juste tout les deux! Le petit, âgé de 8 ans, en fut enchanté, et mit ses plus beaux habits, avant de le suivre en ville. Par contre, il eu une bien mauvaise surprise. Il ne se douta de rien lorsque son père l’amena au port, se disant qu’ils iraient voir des bateaux ou autre. Il ne se douta de rien lorsque son père alla saluer un homme, qui lui donna un grand sac de toile. Il ne se douta de rien lorsque son père parti avec le dit sac, saluant son fils et l’homme de la main. Et il regrettait aujourd’hui de ne pas avoir douté. Comme vous devez le penser, il s’était fait vendre, par son propre père, à un marchand.

À partir de ce jour, il s’embarqua sur le bateau du marchand et parcourra les mers en sa compagnie. L’homme était content d’avoir de la compagnie et quelqu’un pour transporter les boites, et l’enfant était content d’avoir quelqu’un qui le félicitait pour son travail. Cependant, lorsque le Shriver atteignit 12 ans, il commença à manger plus, avoir besoin de nouveau vêtements, poser plus de question… et tout cela dérangeait le marchand, qui se faisait vieux, et qui n’avait pas assez d’argent pour subvenir à ses besoin. Un jour où ils avaient accosté sur une île, le marchand parti, laissant le petit sur seul, encore une fois. Il n’avait que 12 ans, ne connaissait personne, et ne savait rien a la vie.

Sur cette île, il eu la chance de rencontrer un dame. Son nom, il ne s’en souvenait plus, et cela lui importe peu, mais c’est grâce à elle s’il est devenu aussi fort. Elle le fit entrer dans la mafia, ou il devait s’occuper, même malgré son jeune âge, d’aller chercher des sommes d’argent dans certains établissements, ou d’aller tuer des gens. N’ayant rien d’autre, il accepta. Malgré le fait qu’il était dans la mafia, il vivait dehors et devait se débrouiller seul pour obtenir de la nourriture. Mais plus le temps passait, plus il était dégouter de ses actes, de lui, des humains en général. Il voyait, du haut de ses 12 petites années, à quoi les hommes étaient prêt pour avoir des choses à son avis inutiles. Il comprenait qu'on c'était servi de lui toute ça vie, et qu'encore aujourd'hui, la mafia faisait de même. C'est alors qu'il se mit à douter. Il connaissait ce sentiment pour la première fois dans ça vie, et ça lui était horrible, mis il décida tout de même que plus jamais il n'accorderait sa confiance à quelqu'un. Jamais. Puis, vint cette magnifique journée, ou cette île se fit attaquer par… des petites créatures noires. Les mafieux avec qui il vivait depuis maintenant 6 ans mourait un à un, tuer par ses créatures, et lui, il les regardait, ne se doutant pas qu’en fait, ces créatures faisait quelque chose de mal. Pour lui, ces mafieux étaient méchants, et c’est ce qu’ils méritaient. Par contre, il ne souhaitait pas mourir. Il s’attaqua donc aux créatures, armées de ses deux fusils. Visiblement, cela était inutile. Après avoir reçu un coup, il s’évanouit.

Lorsqu’il se réveilla, il était avec la dame qui l’avait recueilli sur l’île, le premier jour. Elle s’occupa de lui, soigna ses blessures, pris soin de le nourrir. Il ne se doutait pas qu’elle s’en irait. Il ne savait même pas qui elle était, au fond. Le jeune Shriver était exaspéré. Il ne voulait pas croire cette dame, mais elle était si gentille. Depuis son épisode avec le marchand, les humains le dégoutaient. Mais maintenant, après que cette femme aie pris soin de lui, toujours souriante même malgré son vieil âge, il redécouvrit les qualités chez les gens, choses dont il avait failli oublier l'existence. Cette dame, probablement un peu folle, passait ses journées aux chevets du jeune homme, radotant sans cesse les mêmes paroles, sur le fait qu’il y avait différents mondes, qu’elle les avaient vu, qu’elle ne pouvait plus y aller mais que lui, il pourrait. Foutaises. Enfin, c’est ce qu’il croyait. Après quelques mois, il se réveilla seul, dans un endroit totalement inconnu, avec comme seul indice un feuille de papier : «Ton esprit est encore trop faible, mais ton cœur est grand».

Pour lui, ce n’était qu’une nouvelle trahison, celle qui fut de trop. Celle qui lui fit perdre toute confiance envers les gens, le monde. Celle qu’il ne comprenait pas. Celle qui le blessait le plus, car même si il n’aurait pas du, et il s’était pourtant convaincu de ne pas lui faire confiance… il n’avait pas douté. Même si il se l'était promis, il n'avais pas douté d'elle. Pourquoi? Il l'ignore. Probablement parce qu'elle était tout ce qui lui restait. Mais maintenant qu'il est seul, cela n'a plus d'importance. Plus rien n'a d'importance.


L’endroit où il avait atterri était tout ce qu’il y a de plus bizarre. Tout était noir et blanc, et il y avait des citrouilles partout. Mais ce qui lui parut le plus étrange fut surement le chien au nez rouge qui flottait dans les airs. Fasciné, il le suivi jusqu’à sa tombe, où il découvrit son nom : Zéro. Alors qu’il cherchait comment sortir d’ici, un homme… plutôt, un squelette en veston arriva, joyeux, appelant le chien.

-Zéro zéro zéro! Viens mon petit! …

Le jeune Shriver resta bouche bée de voir que ce squelette ne faisait pas que marcher, il parlait en plus!

-Oh, tu t’es fais un ami à ce que je vois~? Bonjour jeune homme, je me nomme Jack Skellington! Ravi de vous rencontrer!

-M-moi de même… je crois… je l’espère… Où suis-je?

-Mais… tu es à Halloween, bien sur!

Après cette nouvelle, Seth, âgé maintenant de 18 ans, compris que c’était un monde différent… comme lui disait la dame. Il n’en croyait pas ses yeux! Jack paraissait très heureux d’avoir un nouvel ami pour célébré ‘’halloween’’, et il prit soin de présenter le jeune à tout les habitants, qui d’ailleurs étaient tous plus bizarres les uns que les autres. Mais le plus étrange était surement le vieux scientifique. Lorsque Jack le présenta au Shriver, ce dernier ne pu s’empêcher de rester avec lui, et de lui poser toutes les questions qui lui trottaient dans la tête. Et étonnamment, il avait une réponse à chacune d’entre elles! Il apprit alors qu’il y avait un nombre de monde incalculable, des cœurs purs, des sans cœurs, des gens du côté du bien, et d’autres dans celui du mal. Le scientifique lui donna même une recette de fabrication pour faire des balles qui réussiraient à tuer les sans-cœur. Il s’installa donc chez le vieux scientifique, décidant de ne pas participer à ‘’halloween’’ pour pouvoir continuer de poser des questions à l’homme.

-Dites-moi… Vous savez s’il est possible de changer de monde?

-Tu veux dire… avoir un moyen pour volontairement aller d’un monde à l’autre?

Le scientifique en chaise roulante ouvrit son crâne et se gratta le cerveau, avant de refermer le dessus de sa tête.

-Oui, probablement. Mais ici, je n’ai pas les moyens de te fabriquez quelque chose pour y arriver. Enfin, je ne crois pas les avoir...

*Argh! Je ne vais pas être coincé ici pour toujours!!! Pitié!!! Tout mais pas ça!!!*

-Par contre, ne pense pas que cela signifie que tu devras rester ici!

Le vieux scientifique ouvra ses livres, et se mit à fouiller dedans, durant des heures, des jours, et des mois. Puis, environ 6 mois plus tard, il lui annonça la bonne nouvelle! Si Seth l’aidait, ils pourraient finalement construire une machine qui lui permettrait de changer de monde. Par contre, il ne pourrait pas choisir où il allait tomber. Mais peu lui importait. D’abord, il n’avait pas envie de passer sa vie ici, et ensuite, il s’était donner un nouveau but. Après que le vieux scientifique lui aie expliqué ce qu’était les sans-cœur, il décida que, puisqu’il en avait les moyens, il les anéantirait! Et puis, il aurait du plaisir, et il s’entrainerait! Parfait! Les sans-cœurs n’était pas encore apparu dans ce monde qu’est Halloween, cela leur laissait donc du temps pour travailler tranquilles. Ce qu’ils firent. Sans relâche.

Bon alors déjà bienvenue, je me présente, Raito Kami, co-admin, et aussi petit ami de la fonda. Bon, qu'on se le dise maintenant, j'ai pas encore lu en détail ta fiche. Bon ok, quasi pas lu du tout. En attendant, le peu que j'ai vu me semble bien, niveau longueur en tout cas ça me semble nickel. Pour ce qui est des DC, oh que oui on peut, si on est actif (j'ai pas moins de 6 comptes sur ce forum, mais j'en laisse trois qui peuvent être repris). Et je me contenterai de commenter tes deux autres remarques, préférant reporter le commentaire de ta fiche à plus tard, et je réponds donc "merci" de la part de la fonda (qui ne manquera pas de venir pour le dire elle-même) et "cool, on est toujours contents de recevoir des membres motivés". A plus pour le commentaire de la fiche donc !

Bienvenue!!! \o/
Hâte de pouvoir rp avec toi! ^^

Comme l'a dit mon cher et tendre le dc est autorisé d'ailleurs "grâce" à lui on a beaucoup de perso de kh à reprendre >.>

Mais pour ça faut que tu sois validé alors c'est partit:

- Les longueurs sont respectées, le personnage est original et accroche bien, j'ai hâte de le voir évoluer en rp

- Il y a quelques fautes mais ça passe j'ai déjà vu pire

C'est rare que j'ai si peu de commentaires à faire, tu passe les tests sans problème (faudra remplir ton profil et faire ta fiche de compé, ok?)

Je suis assez en retard, désolé ^^ Bienvenue!

(Je suis également Admin ici)

=> Retard car j'ai pas de connec' dans mon logement et que la Bibliothèque Universitaire (BU) n'est pas ouvert le Weekend (on se demande pourquoi...)